25 Nisan 2014 Cuma

Episode 7

Mirabelle et Jacques n’avaient pas pu manger dans Les Brochettes cette nuit. Mirabelle m’a dit qu’ils n’ont pu jamais l’y atteindre.  
« Aprés l’incident, nous ne pourrions pas manger de tout façon.»
« Dieu merci ! » J’ai dit, tranquillement. « Je ne supporterai plus la nourriture »
« Excuse-moi ? » Elle m’a demandé.
« Rien ! » Je lui ai dit, furieusement. « Je parlais à moi-même »  
  « Ah ! D’accord ! Vous savez ce que … je parle à aussi moi-même parfois. Je pense qu’il est très normal… pour moi au moins, parce que, vous voyez,  j’aime beaucoup parler et on ne peut pas trouver quelqu’un à qui parler tout le temps. »
« Madame Vaultier, désolé de vous interrompre, mais, comment avez-vous trouvé le corps ? »
« Ah ! Désolé ! J’oublie parfois combien je parle. Ma mère était pareille. Tant de gens pensent que je ressemble à mon père, mais, je … »
« Madame Vaultier, le corps ? » Je l’ai interrompu de nouveau
« Ah ! Le corps, d’accord ! En route de Les Brochettes, j’ai réalisé que quelque chose se coinçait sur l'hélice. Je n’ai pas voulu qu'il s'emmêle plus et c’est pour ça que j’ai arrêté le moteur. J’ai demandé à Jacques de le vérifier. Apres qu’il l’a vérifié, il m’a dit qu’il était un sac à ordures. Je dois être honnête que je n’étais pas surpris, parce que vous pouvez trouver de telles choses dans la rivière tout le temps. C’est, je pense, une honte. Jacques a coupé la corde du sac. Je lui ai demandé ne de pas le jeter dans l’eau. Je dis tout le temps que tu ne devrais pas creuser ta propre tombe. Si je vois un grand article dans l’eau, je le ramasse et mis à la poubelle. Vous devez voir ce que nous avons trouvé dans la rivière. Une fois, nous avons trouvé un fauteuil Voltaire. Jacques l’a nettoyé et mis dans son jardin. De toute façon, le sac… Jacques n’a pas pu le soulever par lui-même. Je suis allé à l'arrière du bateau pour l’aider. Quand nous le soulevions, nous n’avons pas pu reconnaitre ce que c’était. Franchement, j’ai voulu juste le jeter dans la poubelle, mais, Jacques était curieux et il a commencé à l’ouvrir. C’était un vieux tapis roule dans un couple des sacs à ordures. Je ne sais pas pourquoi, mais, j’ai regardé autour. Il n’y avait personne sur le trottoir et je n’ai pas vu un autre bateau sur la rivière. Je ne suis pas effrayé facilement. Vous voyez, je suis une femme qui travaille jusqu’à des heures tardives dans Paris. Je dois être dur. Mais, monsieur, je dois avouer que j’avais tellement peur à moment-là. Il y avait un drap dans le tapis et je pouvais sentir ce qui était dans le drap. Jacques a dû ressentir la même chose que il s’est rejeté en arrière. Nous avons regardé de l’un l’autre de peur pendant un certain temps. Comme je vous l’ai dit, je pense toujours que je suis une dame brave, mais, je ne savais pas que je pourrais faire ce que j’avais fait la nuit dernière. D’abord, j’ai tiré le tapis à l’extérieur du sac, et puis, je l’ai déroulé. Il était évident maintenant que la chose dans le drap était un corps humain. J’ai toujours un couteau suisse dans ma poche. Je l’ai sorti et coupe le drap. A l'intérieur…son visage… J’avais vu le corps de mon père pendant ses funérailles, quand j’avais quinze ans. Je me souviens de lui en s’étant couché dans le cercueil. Il était calme et pacifique. Mais, cet homme, monsieur, que nous avons trouvé la nuit dernière… Paul, non ? Mon Dieu… Vous auriez pu voir la peur dans ses yeux. Quand nous l’avons trouvé, les poissons avaient juste commencé à le manger. J’ai aussi dit aux flics que son sang sur sa chemise était sec, mais, j’aurais pu encore sentir. J’ai vu sa femme dans la salle d’attente et je lui ai présenté mes condoléances, mais, croyez-moi monsieur, elle ne peut pas oblige ce visage pendant de longues années. Je ne l'oublierai pas non plus. Et Jacques, je ne pense pas qu’il puisse ramasser un article de la rivière plus. »
Après avoir parlé avec Mirabelle, je suis retourné près de Lisbeth. Elle s’asseyait avec une autre dame qui s’est présentée à moi comme la sœur de Lisbeth. Elle s’appelait Helen. Elle était plus jeune que Lisbeth, mais, elle n’est pas aussi belle qu’elle. Différente de sa sœur, Helen avait les cheveux noirs courts. Elle portait des lunettes. Elle m’a regardé avec une expression sérieuse et m’a demandé :
« Monsieur Deschamps, la police ne nous dit rien, savez-vous quelque chose ? »
« Pas beaucoup. Ils m’ont laissé parler à la femme qui l’a trouvé. Je sais qu’il a été poignardé. Les médecins légistes vont examiner son corps aujourd’hui. Nous allons probablement connaitre le résultat demain. »
Lisbeth a levé la tête et m’a regardé  avec colère. Après avoir pleuré toute la matinée, elle avait du mal à parler.
« Monsieur Deschamps, Je vous ai déjà dit que je ne fais pas confiance à la police. Je vous demande de trouver la personne qui a tué Paul. Trouvez-le, et…et… »

Et, elle a commencé à sangloter… 

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