Oui, oui, j’accepte
que j’aie exagéré sur la média et leur intérêt avec ce cas, mais, en raison de
ce que Sophie m’a tout dit. Apparemment, Paul n’était pas le seul propriétaire
de l’entreprise. Il en possédait seulement cinquante-cinq pour cent. Le reste appartenait
à un autre partenaire dont le nom est monsieur Jean-Philippe Routier.
Le nom de
l’entreprise est M&R Software qui licence et vend des logiciels. Paul et
Jean-Philippe l’ont fondé il y a vingt
ans. Il travaillait avec les entreprises autour de Paris jusqu’à ce que
Jean-Philippe ait convaincu Paul d’élargir et d’entrer sur le marché européen
l’année dernière. Selon Sophie, depuis lors, l’entreprise a tellement élargi
qu’ils ont ouvert encore branches. Son taux de marche boursier a augmenté
énormément. Le nombre des employés a augmenté de soixante-quinze à sept cent
cinquante.
L’augmentation de
la valeur de l’entreprise avait naturellement a attiré l’attention d’autres personnes. Luigi Parodi
qui est un homme d’affaires Italien était l’un d’eux. Il avait voulu
l’entreprise et sacrifié millions d’euros pour elle. Jean-Philippe ne voulait
pas acheter sa part mais Paul hésitait. Sophie m’a dit que Parodi a été très
insistant.
« Il, Monsieur
Parodi, apparait comme un homme gentil mais je voyais récemment des hommes
étranges dans l’entreprise récents. Monsieur Monet ne m’a rien dit mais il
perturbait. »
Paul lui avait demandé
d’appeler Monsieur Parodi vendredi mais elle ne l’avait pas trouvé dans son
bureau. Quand elle était allée chez elle le jour même, un homme de monsieur
Parodi l’avait appelé. Il lui avait dit que son patron avait voulu voir
monsieur Monet. En raison de son insistance, elle avait été obligée d’appeler
monsieur Monet. Sophie croit que monsieur Parodi était un homme d’affaires
professionnel et c’est pourquoi il avait obtenu rendez-vous par elle. Elle
avait appelé Paul et lui avait dit que monsieur Parodi avait voulu le
rencontrer le lendemain à déjeuner.
Quand j’ai quitté Sophie nous avions passé plus
de trois heures ensemble. Tandis que je conduisais ma voiture à mon bureau, je
pensais à Paul et où il pourrait être en ce moment. Il avait été kidnappé ou
avait été tué ? Jusqu’ici, j’ai eu trois suspects : La premier d’eux était
Sophie. Ce n’était pas l’appel téléphonique qui m’a fait douter d’elle. Je
sentais qu’il y avait quelque chose entre elle et Paul. Quand elle parlait,
j’avais reconnu qu’elle a appelé Paul avec son prénom. Est-ce qu’elle le
cachait dans sa maison ? Peut-être que Commissaire Debiev avait raison.
Peut-être qu’il se cachait de son épouse après leur querelle et il émergerait
bientôt. Le deuxième suspect était Jean-Philippe. Si Sophie avait raison, il
avait quelques raisons de tuer Paul. Et mon dernier suspect était monsieur
Parodi. Je pouvais sentir la difficulté. Je n’avais pas de temps à perdre. J’ai
appelé Céline et lui ai demandé de me faire rendez-vous avec Jean-Pierre et
monsieur Parodi pour lendemain. Je lui ai également demandé de faire un pot de
café parce que j’avais l’intention de travailler dans mon bureau pour le reste
de la journée.
Hiç yorum yok:
Yorum Gönder