26 Mart 2014 Çarşamba

Episode 2

« Une tasse de café au lait…pour emporter s’il vous plait »
« Oui… si vous voulez du sucre, vous pouvez le trouver sur la table »
« Non, merci »
Je ne peux pas commencer la journée sans une tasse de café, en particulier, après une longue journée. Hier, D’abord, j’avais écouté madame Monet tout l’après-midi.   
« Il y a trois jours, le vendredi soir, Paul et moi avons discuté. Ce n’était pas quelque chose de grand. En fait, j'ai peut-être un peu exagéré. Quand nous dinions à la maison, sa secrétaire, Sophie, l’a appelé. Il est allé à la salle de bain pour lui parler. Apres deux minutes, il est revenu et m’a dit qu’elle l’a appelé sur le travail. Je suis en colère et je lui ai demandé pourquoi il ne l’un pas parle à cote de moi. Il pensait que j’ai exagèré. Nous avons commencé à crier à l’autre peut-être pour la première fois. »
« Ce qui ce passe après? »
« Je suis allé dans la chambre et j’ai fermé la porte dure. Je ne pouvais pas dormir pendant un certain temps. Donc, j’ai regardé un film ennuyeux. Quand je me suis réveillé le matin, Paul n’était pas à la maison. Je ne sais pas à quelle heure il a quitté mais je ne l’ai pas vu depuis. J’ai pensé qu’il allait venir. J’ai attendu pendant une journée, et puis j’ai appelé la police. »
Avant que la journée de travail n’ait terminé, j’étais allé a la station de police. Commissaire Debiev m’avait rencontré là-bas. Il était un homme très vieux.
« Commissaire Debiev, je suis détective prive Jean-Pierre Deschamps. Je représente madame Lisbeth Monet. »
« Oui, je sais… son avocat m’a appelé tout à l’heure. S’il vous plait asseyez-vous. Voulez-vous un verre ? Comment je peux vous aider Monsieur Deschamps? »
« Commissaire, je veux savoir ce que vous savez sur la cas. Je crois que nous pouvons s’entraider. Je peux vous aider a fermé le cas»
« Monsieur Deschamps, il n’y pas de cas encore. »
« Excusez-moi? »
« Vous voyez, il n’existe aucune preuve qui nous montre un enlèvement. Nous n’avons pas trouvé de signe de lutte comme le sang ou objet cassé.»
« Et c’est pourquoi vous ne faites rien? »
« Si, nous avons cherché tous les hôpitaux et stations de police. Nous avons demandé à des gens qui vivent près de leur maison. Personne ne l’a vu. »
« Avez-vous parlé à son secrétaire, Sophie ? »
« Oui, nous lui avons parlé à la première après que madame Monet nous avait dit sur l’appel de téléphone. Sophie ne le voyait pas depuis vendredi. »
« Mais, a-t-elle ne l’a vu dit pourquoi elle l’appelé le vendredi ? »
« Ecoutez, monsieur Deschamps. Quand un enfant est disparu, nous ne dormons pas jusqu’à ce que nous la trouvions parce que dans ces cas, l’espoir diminue avec les jours. Quand une femme est disparu, nous soupçonnons et suivons le mari parce qu’ils sont les criminels dans la plupart des cas. Quand un mari est disparu, nous attendons parce qu’ils reviennent toujours. »           
Je n’aurais pas pu trouver ce que j’espérais à la station de police. Bien que la thèse de Commissaire Debiev soit très impressionnante, il n’aurait pas pu me convaincre. En outre, la police avait besoin d’un crime alors que  j’avais été payé pour le trouver.   
Hier, j’avais appelé Sophie finalement et je l’avais convaincue de me rencontrer ce matin. Il n’avait pas été difficile pour moi de dormir après une longue journée.
Quand je buvais mon café dans ma voiture, je pensais les réponses possibles de Sophie. Mon travail ressemble aux échecs : si vous ne pouvez pas deviner les prochains mouvements de votre rival, vous ne pouvez pas gagner.

La plupart des gens détestent qu’on leur pose des questions, c’est normal… mais je pose des questions et ça me passionne. Je sais que les gens ont toujours quelque chose à cacher.       

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