26 Mart 2014 Çarşamba

Episode 3

J’ai rencontré Sophie dans un café près de son travail. Elle était une jeune fille très belle. Elle avait les cheveux longs qui atteignaient sa taille. Elle portait une robe longue et lunettes qui ne pouvaient pas cacher ses yeux bleus comme l’océan. Elle agissait comme si elle était pressée.
« Monsieur Deschamps, je dois retourner au bureau bientôt parce que les gens me demandent tout en absence de monsieur Monet. Pouvons-nous être rapides? »
Je ne sais pas si c’était le ton sa voix ou ses yeux mais je n’ai pu pas parler pour une seconde.
« Monsieur Deschamps ? »
J’étais sur le point de baliverner quand le serveur m’a sauvé.
« Que désirez-vous? »                 
J’ai demandé une tasse de café au lait bien que Sophie n’ait rien voulu. Cette petite pause m’avait donné assez de temps pour me rassembler.
« Madame Bonnaire, je  voudrais commencer par l’appel téléphonique que vous et Monsieur Paul avez fait Vendredi. »
« Monsieur Deschamps, j’ai déjà dit à la police que c’était juste un appel sur le travail. »
« Une vendredi soir ? »
« Paul…ah…excusez-moi, Monsieur Monet m’avait dit d’appeler certaines personnes avant de quitter le bureau. Oui, je l’ai appelé Vendredi soir parce que je pensais que quelque chose pourrait être important.  »
« Ce que c’était ? »
Elle a hésité pour une seconde.
« Ces sont des secrets de l’entreprise et je ne pense pas que je sois autorisé à vous donner cette information. »
« L’avez-vous donnée à la police ? »
« Ils ne l’ont pas demandé »
« Mais, je ne comprends pas… Madame Bonnaire, écoutez, s’il vous plait. Monsieur Monet peut être en danger et la police ne veut pas le comprendre. Je représente sa femme et je peux obtenir toutes ces informations auprès de l’entreprise avec une décision de justice mais nous n’avons pas beaucoup de temps. En outre, si quelque chose de mauvais lui arrive, Qui pensez-vous qu’il soit interrogé en premier? »
« Mais… pourquoi ils me soupçonneraient ? Est-ce à cause d’un appel téléphonique ?»
« Madame Bonnaire, je vais être honnête avec vous. Vous êtes une jeune femme très belle. Vous avez appelé un homme marié un vendredi soir et après il a été perdu. Apres que la police vous interrogent les, medias vous suivront partout. Ils questionneront tous les aspects de votre vie. Ils raconteront vos copains, ce que vous portez, ce que vous mangez. Ils essaieront de parler avec votre famille. Ils ne vont pas vous laisser seulé jusqu’à que le criminel se trouve. Et oui, c’est tout parce que vous êtes une belle secrétaire qui a appelle son patron une vendredi soir. Maintenant, vous devez partager toutes les informations avec moi. »
« Monsieur Deschamps, ce que voulez-vous savoir ? »  

Episode 2

« Une tasse de café au lait…pour emporter s’il vous plait »
« Oui… si vous voulez du sucre, vous pouvez le trouver sur la table »
« Non, merci »
Je ne peux pas commencer la journée sans une tasse de café, en particulier, après une longue journée. Hier, D’abord, j’avais écouté madame Monet tout l’après-midi.   
« Il y a trois jours, le vendredi soir, Paul et moi avons discuté. Ce n’était pas quelque chose de grand. En fait, j'ai peut-être un peu exagéré. Quand nous dinions à la maison, sa secrétaire, Sophie, l’a appelé. Il est allé à la salle de bain pour lui parler. Apres deux minutes, il est revenu et m’a dit qu’elle l’a appelé sur le travail. Je suis en colère et je lui ai demandé pourquoi il ne l’un pas parle à cote de moi. Il pensait que j’ai exagèré. Nous avons commencé à crier à l’autre peut-être pour la première fois. »
« Ce qui ce passe après? »
« Je suis allé dans la chambre et j’ai fermé la porte dure. Je ne pouvais pas dormir pendant un certain temps. Donc, j’ai regardé un film ennuyeux. Quand je me suis réveillé le matin, Paul n’était pas à la maison. Je ne sais pas à quelle heure il a quitté mais je ne l’ai pas vu depuis. J’ai pensé qu’il allait venir. J’ai attendu pendant une journée, et puis j’ai appelé la police. »
Avant que la journée de travail n’ait terminé, j’étais allé a la station de police. Commissaire Debiev m’avait rencontré là-bas. Il était un homme très vieux.
« Commissaire Debiev, je suis détective prive Jean-Pierre Deschamps. Je représente madame Lisbeth Monet. »
« Oui, je sais… son avocat m’a appelé tout à l’heure. S’il vous plait asseyez-vous. Voulez-vous un verre ? Comment je peux vous aider Monsieur Deschamps? »
« Commissaire, je veux savoir ce que vous savez sur la cas. Je crois que nous pouvons s’entraider. Je peux vous aider a fermé le cas»
« Monsieur Deschamps, il n’y pas de cas encore. »
« Excusez-moi? »
« Vous voyez, il n’existe aucune preuve qui nous montre un enlèvement. Nous n’avons pas trouvé de signe de lutte comme le sang ou objet cassé.»
« Et c’est pourquoi vous ne faites rien? »
« Si, nous avons cherché tous les hôpitaux et stations de police. Nous avons demandé à des gens qui vivent près de leur maison. Personne ne l’a vu. »
« Avez-vous parlé à son secrétaire, Sophie ? »
« Oui, nous lui avons parlé à la première après que madame Monet nous avait dit sur l’appel de téléphone. Sophie ne le voyait pas depuis vendredi. »
« Mais, a-t-elle ne l’a vu dit pourquoi elle l’appelé le vendredi ? »
« Ecoutez, monsieur Deschamps. Quand un enfant est disparu, nous ne dormons pas jusqu’à ce que nous la trouvions parce que dans ces cas, l’espoir diminue avec les jours. Quand une femme est disparu, nous soupçonnons et suivons le mari parce qu’ils sont les criminels dans la plupart des cas. Quand un mari est disparu, nous attendons parce qu’ils reviennent toujours. »           
Je n’aurais pas pu trouver ce que j’espérais à la station de police. Bien que la thèse de Commissaire Debiev soit très impressionnante, il n’aurait pas pu me convaincre. En outre, la police avait besoin d’un crime alors que  j’avais été payé pour le trouver.   
Hier, j’avais appelé Sophie finalement et je l’avais convaincue de me rencontrer ce matin. Il n’avait pas été difficile pour moi de dormir après une longue journée.
Quand je buvais mon café dans ma voiture, je pensais les réponses possibles de Sophie. Mon travail ressemble aux échecs : si vous ne pouvez pas deviner les prochains mouvements de votre rival, vous ne pouvez pas gagner.

La plupart des gens détestent qu’on leur pose des questions, c’est normal… mais je pose des questions et ça me passionne. Je sais que les gens ont toujours quelque chose à cacher.       

UNE TASSE DE CAFE AU LAIT (Episode 1)

Il pleuvait quand la porte de mon bureau a été frappée. Je déjeunais et regardais la télévision. Mon assistant Céline est venu avec une dame qui pleurait. Elle était une femme blonde, la trentaine et elle nettoyait ses larmes avec un peu de tissu. Je lui ai dit de s'asseoir sur la chaise, je lui ai donné un verre d’eau alors que Céline expliquait la situation.
« Monsieur Deschamps, c’est madame Lisbeth Monet. Son mari a été perdu pendant trois jours. »
« Madame Monet, Pourriez-vous me dire ce qui s’est passé, s’il vous plait? Avez-vous informe la police? »
Elle m’a regardé en colère.        
« Polices? …   ils ne sont rien mais interrogatives paresseux. Ils posent des questions tout le temps mais ils n’agissent pas »
Céline est intervenue.
« Ils le cherchaient pendant deux jours mais ils ne pouvaient pas le trouver encore »
Madame Monet a parlé pendant qu’elle nettoyait son nez.
« Paul… ils ne me quitterait jamais. Il…Il m’adore. Il n’a aucune raison de me quitter. Les polices ne font rien. Ils ont cherché partout dans ma maison et ils ont appelé tous les hôpitaux de la ville et c’est tout. Ils pensent qu’il m’a laissé parce que tout l’argent dans son compte bancaire avait été retirée avant qu’il a disparu. Je ne peux pas comprendre. Paul… Il… Il me dit tout. Nous ne cachons pas quelque chose de l’autre. Je sais… je sais que quelqu’un a fait quelque chose à lui. Oh mon cher Paul… Dites-moi monsieur Deschamps, pouvez-vous le trouver ? »
Quand j’ai commencé ce travail, je promettais aux gens que je vais trouver leurs épouses, enfants, maris, maitresses de leurs maris mais l’expérience de dix ans m’enseigné que ne promettre jamais. Je déteste que les gens me regardent avec déception.

« Madame Monet, Je suis un détective privé. J’ai trouvé beaucoup de gens avant mais dans ce genre de cas, il est très difficile de promettre. Cependant, je vous promets que je ferai de mon mieux. »