J’ai rencontré Sophie dans un
café près de son travail. Elle était une jeune fille très belle. Elle avait les
cheveux longs qui atteignaient sa taille. Elle portait une robe longue et
lunettes qui ne pouvaient pas cacher ses yeux bleus comme l’océan. Elle agissait
comme si elle était pressée.
« Monsieur Deschamps, je
dois retourner au bureau bientôt parce que les gens me demandent tout en
absence de monsieur Monet. Pouvons-nous être rapides? »
Je ne sais pas si c’était le
ton sa voix ou ses yeux mais je n’ai pu pas parler pour une seconde.
« Monsieur
Deschamps ? »
J’étais sur le point de
baliverner quand le serveur m’a sauvé.
« Que
désirez-vous? »
J’ai demandé une
tasse de café au lait bien que Sophie n’ait rien voulu. Cette petite pause
m’avait donné assez de temps pour me rassembler.
« Madame
Bonnaire, je voudrais commencer par
l’appel téléphonique que vous et Monsieur Paul avez fait Vendredi. »
« Monsieur Deschamps,
j’ai déjà dit à la police que c’était juste un appel sur le travail. »
« Une vendredi
soir ? »
« Paul…ah…excusez-moi,
Monsieur Monet m’avait dit d’appeler certaines personnes avant de quitter le
bureau. Oui, je l’ai appelé Vendredi soir parce que je pensais que quelque
chose pourrait être important. »
« Ce que
c’était ? »
Elle a hésité pour
une seconde.
« Ces sont des
secrets de l’entreprise et je ne pense pas que je sois autorisé à vous donner
cette information. »
« L’avez-vous donnée
à la police ? »
« Ils ne l’ont
pas demandé »
« Mais, je ne
comprends pas… Madame Bonnaire, écoutez, s’il vous plait. Monsieur Monet peut
être en danger et la police ne veut pas le comprendre. Je représente sa femme
et je peux obtenir toutes ces informations auprès de l’entreprise avec une
décision de justice mais nous n’avons pas beaucoup de temps. En outre, si
quelque chose de mauvais lui arrive, Qui pensez-vous qu’il soit interrogé en
premier? »
« Mais…
pourquoi ils me soupçonneraient ? Est-ce à cause d’un appel
téléphonique ?»
« Madame
Bonnaire, je vais être honnête avec vous. Vous êtes une jeune femme très belle.
Vous avez appelé un homme marié un vendredi soir et après il a été perdu. Apres
que la police vous interrogent les, medias vous suivront partout. Ils
questionneront tous les aspects de votre vie. Ils raconteront vos copains, ce
que vous portez, ce que vous mangez. Ils essaieront de parler avec votre
famille. Ils ne vont pas vous laisser seulé jusqu’à que le criminel se trouve.
Et oui, c’est tout parce que vous êtes une belle secrétaire qui a appelle son
patron une vendredi soir. Maintenant, vous devez partager toutes les
informations avec moi. »
« Monsieur Deschamps,